Invitation Fête de la Sculpture 2006
Au programme cette année, deux invités dominicains : Juan Trinidad et Limber Vilorio.
Les sculpteurs haïtiens, toutes tendances et écoles confondues, malgré le climat d’inquiétude suscité par la proximité des joutes électorales et les récents pics d’insécurités, ont répondu avec enthousiasme à cette invitation.
Une fois de plus, dans un pays en lutte contre ses propres ténèbres, la culture s’élève en obstacle à la barbarie et à la terreur.
Dans le jardin de l’Institut, encore une fois réaménagé pour l’occasion, les promeneurs circulent entre les œuvres de Pascale Monnin, Prézeau, Jose Delpé, Ti Pèlen, Joël Fils-Aimé, René Normil, Jean Eddy Roklor, Jean Louis Eddy, Karim Bleus, Jules Tombo.
A l’intérieur des murs, aux cotés d’une vingtaine de masques traditionnels du carnaval de Jacmel, s’élèvent les céramiques sobres de Lissa Jeannot, les fétiches cloutés de Joseph Casseus et de Nasson, tandis que les figures mythologique et bibliques de Lionel St-Eloi apportent une note de fraîcheur, d’optimisme vis-à-vis du cercueil/berceau en verre et métal de Patrick Boucard. Cercueil également, mais en parure de fête, d’André Eugène, comme pour faire un pied de nez à ce cataclysme annoncé pour la semaine prochaine, que politiciens et médias, agitent comme des serpents sifflant sur nos têtes !
Les sculpteurs haïtiens, toutes tendances et écoles confondues, malgré le climat d’inquiétude suscité par la proximité des joutes électorales et les récents pics d’insécurités, ont répondu avec enthousiasme à cette invitation.
Une fois de plus, dans un pays en lutte contre ses propres ténèbres, la culture s’élève en obstacle à la barbarie et à la terreur.
Dans le jardin de l’Institut, encore une fois réaménagé pour l’occasion, les promeneurs circulent entre les œuvres de Pascale Monnin, Prézeau, Jose Delpé, Ti Pèlen, Joël Fils-Aimé, René Normil, Jean Eddy Roklor, Jean Louis Eddy, Karim Bleus, Jules Tombo.
A l’intérieur des murs, aux cotés d’une vingtaine de masques traditionnels du carnaval de Jacmel, s’élèvent les céramiques sobres de Lissa Jeannot, les fétiches cloutés de Joseph Casseus et de Nasson, tandis que les figures mythologique et bibliques de Lionel St-Eloi apportent une note de fraîcheur, d’optimisme vis-à-vis du cercueil/berceau en verre et métal de Patrick Boucard. Cercueil également, mais en parure de fête, d’André Eugène, comme pour faire un pied de nez à ce cataclysme annoncé pour la semaine prochaine, que politiciens et médias, agitent comme des serpents sifflant sur nos têtes !