Image de Jack Beng-Thi
LA DIMENSION DES ACTES
- juin : actes plastiques
- juillet : exposition
LA DIMENSION DU DIRE
- juin : actes de la parole
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>>> Les oeuvres
>>> Les premières photos
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Depuis toujours, la venue de l’étranger interroge le seuil sur lequel se joue notre relation à l’Autre. Saisi sur le fil de ses pérégrinations, il est pour nous l’intrus, ce messager qui nous révèle le monde comme différent. Lorsque ce dernier fait halte, il prend place, gagne en présence et donne une autre résonance à nos propres destins. Entre les temps du séjour et les moments de l’accueil, ces mondes distincts se tissent l’un l’autre jusqu’à porter le même nom : celui d’hôte .
Comment alors, sur la scène de notre monde, le rapport entre celui qui donne l’hospitalité et celui qui la reçoit se rejoue-t-il sans cesse ?
C’est sur les traces et le long des trames qui nouent deux états de l’humanité - entre hospitalité et hostilité – que, Myriam Mihindou (photographe - Gabon, Libreville) / Barbara Prézeau (plasticienne - Haïti, Port-au-Prince) / Jack Beng-Thi (plasticien - Ile de La Réunion, Le Port) / Ahmed Elsharif Aboud Elsharif (peintre - Soudan, Khartoum) et Christian Laudy (plasticien France, Marseille) nous conduisent et nous questionnent.
Leurs propositions prennent l’aspect d’installations composites faites du lieu lui-même et de ses usages sociaux pour le faire vivre aujourd’hui. Ces éléments plastiques et visuels sont mis en espace et construisent le lieu comme un parcours. Ils signifient ce lieu de la « quarantaine » dans sa dimension traumatique et en transmuent les signifiants de l’enfermement pour lui redonner tout son sens d’entrée sur le continent.
Au terme d’un mois d’expérimentation in situ et au croisement de leurs démarches de création respectives, un point de vue à la fois critique et conceptuel, politique et esthétique, émergera sur ce thème de « l’étrangèreté ».
A n’en pas douter, leur cheminement collectif sera devenu un objet artistique complexe qui provoque l’expérience sensible et la parole publique.
Comment alors, sur la scène de notre monde, le rapport entre celui qui donne l’hospitalité et celui qui la reçoit se rejoue-t-il sans cesse ?
C’est sur les traces et le long des trames qui nouent deux états de l’humanité - entre hospitalité et hostilité – que, Myriam Mihindou (photographe - Gabon, Libreville) / Barbara Prézeau (plasticienne - Haïti, Port-au-Prince) / Jack Beng-Thi (plasticien - Ile de La Réunion, Le Port) / Ahmed Elsharif Aboud Elsharif (peintre - Soudan, Khartoum) et Christian Laudy (plasticien France, Marseille) nous conduisent et nous questionnent.
Leurs propositions prennent l’aspect d’installations composites faites du lieu lui-même et de ses usages sociaux pour le faire vivre aujourd’hui. Ces éléments plastiques et visuels sont mis en espace et construisent le lieu comme un parcours. Ils signifient ce lieu de la « quarantaine » dans sa dimension traumatique et en transmuent les signifiants de l’enfermement pour lui redonner tout son sens d’entrée sur le continent.
Au terme d’un mois d’expérimentation in situ et au croisement de leurs démarches de création respectives, un point de vue à la fois critique et conceptuel, politique et esthétique, émergera sur ce thème de « l’étrangèreté ».
A n’en pas douter, leur cheminement collectif sera devenu un objet artistique complexe qui provoque l’expérience sensible et la parole publique.