Maxence © Maxence
Réalisateur de film, premier artiste multimédia d'Haïti, Maxence Denis est né à Port-au-Prince en 1968. Fils de pianiste, il grandit dans l'univers de la musique classique. Violon, flûte traversière, piano, théorie musicale, rythmique, accompagnent ses cours primaires et secondaires.
Sa passion pour l'image se révèle au cours de son adolescence, tandis qu'il vient de créer, avec d'autres jeunes, Mizik Mizik, un groupe qui va bouleverser le genre populaire haïtien, en y introduisant des sonorités nouvelles, légères. Il sait déjà qu'il ne sera pas musicien.
En 1988, après son baccalauréat, il est reçu à l'Ecole Supérieure de l'Audiovisuel (ESRA) de France.
Sa passion pour l'image se révèle au cours de son adolescence, tandis qu'il vient de créer, avec d'autres jeunes, Mizik Mizik, un groupe qui va bouleverser le genre populaire haïtien, en y introduisant des sonorités nouvelles, légères. Il sait déjà qu'il ne sera pas musicien.
En 1988, après son baccalauréat, il est reçu à l'Ecole Supérieure de l'Audiovisuel (ESRA) de France.
En 1992, il obtient son diplôme avec la mention bien, son mémoire porte sur la « réalité virtuelle », un sujet d'avant-garde, dans le contexte de l'époque.
Employé par Videosystem (l'une des meilleures sociétés de post-production d'Europe), il apprend le montage et les effets spéciaux. Pendant trois années consécutives, les studios de montage se transforment en laboratoire d'expérimentation. La facture picturale des premiers résultats obtenus par l'exploitation des disfonctionnements vidéos, combinée aux effets de larsen, jouant avec les câblages, exploitant les défauts du matériel, le conduit au Vidéo-art et aux visuels Techno.
En 1993, il fait une série de découvertes déterminantes, l'installation vidéo, la musique concrète contemporaine.
La même année, il projette ses premiers résultats au cours d'une soirée techno. C'est ainsi qu'il se retrouve à l'avant-garde du phénomène Rave européen. Il travaille avec des Dj et des Vj.
Travaillant pour la chaîne MCM, il devient à 25 ans l'un des plus jeunes réalisateurs de télévision de France.
Employé par Videosystem (l'une des meilleures sociétés de post-production d'Europe), il apprend le montage et les effets spéciaux. Pendant trois années consécutives, les studios de montage se transforment en laboratoire d'expérimentation. La facture picturale des premiers résultats obtenus par l'exploitation des disfonctionnements vidéos, combinée aux effets de larsen, jouant avec les câblages, exploitant les défauts du matériel, le conduit au Vidéo-art et aux visuels Techno.
En 1993, il fait une série de découvertes déterminantes, l'installation vidéo, la musique concrète contemporaine.
La même année, il projette ses premiers résultats au cours d'une soirée techno. C'est ainsi qu'il se retrouve à l'avant-garde du phénomène Rave européen. Il travaille avec des Dj et des Vj.
Travaillant pour la chaîne MCM, il devient à 25 ans l'un des plus jeunes réalisateurs de télévision de France.
Une série de réalisation sur la musique pour la chaîne Arte, entre autres, le ramène en Haïti.
Parallèlement aux réalisations pour la télévision, il poursuit ses expérimentations visuelles avec le collectif d'artistes Les Filtres Actifs et élargit son champ d'action aux installations vidéo et plastique et au multimédia.
En 2001, Maxence Denis réalise d'autres films dont Pluribus Unum, un court documentaire sur l'atelier des sculpteurs Céleur et Eugène à Port-au-Prince.
En 2002, il présente avec son partenaire photographe Fred Koenig, une installation multimédia dans le cadre de AfricAméricA@SAT, au Festival vues d'Afrique de Montréal.
La même année, il participe au 2ème Forum Multiculturel d'art Contemporain et présente un projet avec le groupe Sculptures Urbaines, au Musée d'Art Haïtien.
En 2003, la commémoration du Bicentenaire de la mort de Toussaint Louverture, lui fournit la matière d'un projet filmographique, en cours.
Depuis 2002, Maxence est un membre actif de la Fondation AfricAméricA.
Parallèlement aux réalisations pour la télévision, il poursuit ses expérimentations visuelles avec le collectif d'artistes Les Filtres Actifs et élargit son champ d'action aux installations vidéo et plastique et au multimédia.
En 2001, Maxence Denis réalise d'autres films dont Pluribus Unum, un court documentaire sur l'atelier des sculpteurs Céleur et Eugène à Port-au-Prince.
En 2002, il présente avec son partenaire photographe Fred Koenig, une installation multimédia dans le cadre de AfricAméricA@SAT, au Festival vues d'Afrique de Montréal.
La même année, il participe au 2ème Forum Multiculturel d'art Contemporain et présente un projet avec le groupe Sculptures Urbaines, au Musée d'Art Haïtien.
En 2003, la commémoration du Bicentenaire de la mort de Toussaint Louverture, lui fournit la matière d'un projet filmographique, en cours.
Depuis 2002, Maxence est un membre actif de la Fondation AfricAméricA.