Puisque l'Islam interdit la représentation humaine dans l'art, Elsharif incorpore les formes figuratives et géométriques pour dépeindre la variété infinie d'une expérience humaine. Il met en référence l’art africain dans les dispositifs de ses « figures » comme dans la peinture de Rath qui ressemble à des sculptures des divinités africaines.
En tant que musulman Sufi, il regarde chaque objet, chaque personne et événement comme symbolique de quelque chose d’ésotérique. Ses travaux figuratifs semblent être abstraits, mais c'est seulement après un regard attentif que les images sont indiquées.
Bien que le travail d’Ahmed Elsharif semble inoffensif, il accentue le rapport tendu entre les entités religieuses, politiques, et culturelles existantes au Soudan.
En tant que musulman Sufi, il regarde chaque objet, chaque personne et événement comme symbolique de quelque chose d’ésotérique. Ses travaux figuratifs semblent être abstraits, mais c'est seulement après un regard attentif que les images sont indiquées.
Bien que le travail d’Ahmed Elsharif semble inoffensif, il accentue le rapport tendu entre les entités religieuses, politiques, et culturelles existantes au Soudan.