Relique d'un corps domestique, Pied lié
« Tandis que l’art contemporain occidental m’apparaît comme vision archétypale, méthode conceptualisée, code collectif, mon travail artistique se veut expérimentation cognitive de l’altérité. Il est un matériau en quête d’universel. J’éprouve, je puise, j’apprends, je crée et cherche à redistribuer, ruminant mes mémoires archaïques -WARDA-
Je m’interroge : « L’homme, peut-il s’oublier ? »
S’emparant de son propre corps comme objet de sculpture, elle donne à voir les brefs moments de tension qui le parcourent. Sculpture sur un corps féminin, devenu l’espace d’un instant expression de violence ou de douceur au gré du regard que l’on y pose. Elle appartient au cercle infime des artistes africains et ne cache pas son engagement au côté des femmes « pour faire circuler une mémoire » qui nous parle de l’intime et de l’universel avec ses images-icônes, ses images-identités.
Je m’interroge : « L’homme, peut-il s’oublier ? »
S’emparant de son propre corps comme objet de sculpture, elle donne à voir les brefs moments de tension qui le parcourent. Sculpture sur un corps féminin, devenu l’espace d’un instant expression de violence ou de douceur au gré du regard que l’on y pose. Elle appartient au cercle infime des artistes africains et ne cache pas son engagement au côté des femmes « pour faire circuler une mémoire » qui nous parle de l’intime et de l’universel avec ses images-icônes, ses images-identités.